mardi 22 juin 2010

Communication spéciale

Nous interrompons ce blogue pour vous transmettre un communiqué du Festival Burlesque de Montréal :


Nous sommes heureux de vous inviter dans notre univers cabaret le temps d'une fin de semaine fabuleuse!


Montréal était la ville la plus riche en cabarets et théâtres dans les années 30, 40 et 50 avec plus de 800 lieux de divertissement juste sur la rue St Catherine.

Musique « live », Big Bands, humour, variété et aussi le clou de chaque soirée; Le Burlesque!


Le festival fait renaître ces années folles de Montréal en vous invitant au Club Soda dans une formule cabaret (tous les invités sont assis à une table) et où le champagne et autres cocktails coulent à flot tout en regardant un spectacle interactif et divertissant.


On y mélange les langues, les origines, les disciplines toujours avec une touche de légèreté, d'humour et de sensualité. 18 ans et plus car c'est un lieu où la consommation d'alcool est servie au table ou au bar.


Jeudi: nous ouvrons le bal avec un défilé de mode mettant en vedette des vêtements et sous vêtements inspirés vintage et pin-up, suivi d'un spectacle intitulé Oh Canada! Où les artistes seront tous Canadiens! (le tout dans le même billet)
Portes ouvrent à 18h pour le marché vintage ouvert à tous
Défilé à 19h30
Spectacle à 20h30

Vendredi: est la soirée Internationale, venus des 4 coins du globe nos artistes seront des ambassadeurs (-drices) à Montréal.
Les portes ouvrent à 19h30
Spectacle à 20h30


Samedi: Soirée de Gala! Nos têtes d'affiche y seront présentées en toute splendeur, certains visages connus et de nouveaux se joindront à nous!
Les portes ouvrent à 19h30
Spectacle à 20h30


Les 3 spectacles se déroulent au Club Soda, 1225 St Laurent, Montréal, le 23, 24 et 25 Septembre 2010.

Les ateliers du Samedi sont ouvert à toutes et à tous, je vous invite à regarder le site internet pour plus d'informations


Les Billets et passes de fin de semaine sont déjà en prévente sur le site du Festival.

Des histoires de jouets

En 1995, quand Pixar lançait son premier Toy Story, le facteur nostalgie a attiré beaucoup de spectateurs dans les salles. Tous les adultes qui se souvenaient de leurs jouets d’enfance étaient enchantés de les revoir en vie après toutes ces années. 15 ans plus tard, un troisième opus vient de sortir et reçoit un accueil phénoménal. Il n’en fallait pas plus pour m’inspirer la chronique de ce soir.


Tinker Toys
C’est en 1914 qu’apparaissent les premiers Tinker Toys sur le marché. Leur inventeur, Charles H. Pajeau veut créer un jouet de construction qui permettra aux enfants d'user de leur imaginaire. On raconte que l’idée d’assembler des tiges de bois à des bobines rondes lui serait venue après avoir vu des enfants s’amuser avec des crayons et de vieilles bobines de fil. Pajeau ne réussira pas à faire la promotion de son jouet lors de la Foire Américaine du Jouet de 1914 mais il se reprendra en créant une vitrine vivante pour un grand magasin de Chicago durant la période des fêtes la même année. Il charmera ainsi les enfants à l’aide de nains déguisés en lutin et embauchés pour jouer avec ses Tinker Toys toute la journée.



Mr Potato Head
Le premier Monsieur Patate est apparu durant la seconde guerre mondiale. À l’origine, le jouet se vend sans la tête de patate puisque l’enfant était invité à décorer un véritable légume avec des accessoires : yeux, nez, oreilles, etc. aux pointes acérées. C’est durant les années 50 que Mr. Potato prend réellement son essor quand il devient le premier jouet bénéficiant d’une campagne de pub à la télé. Le succès sera phénoménal et le jouet survivra jusqu’à nos jours, non sans faire l’objet, au fil des ans,  de nombreux ajustements : l'apparition de la tête en plastique et des accessoire retenus par des tiges en plastique arondies qui en feront le jouet qu'on connait aujourd'hui.


Slinky
Comme beaucoup d’autres inventions, Slinky est le résultat d’un accident un peu bête. En 1943, Richard James, un ingénieur naval travaille avec des ressorts pour inventer un nouvel instrument de mesure quand il en échappe un par terre. Voyant le ressort rebondir sans cesse, il se met à imaginer le potentiel d’un tel objet en tant que jouet. IL lui faudra en tout deux ans pour élaborer le ressort parfait. James fera une démonstration de son concept à une foule enthousiaste dans un magasin de Philadelphie pour Noël 1945. Une heure trente après le début de la démonstration, il aura déjà vendu 400 jouets. Depuis, des dizaines de variantes ont vu le jour de Slinky Junior au chien SLinky en passant par les lunettes « Crazy eyes » et le Slinky en plastique.


Etch-a-sketch
C’est à la fin des années 50 en France qu’André Cassagne invente l’Écran magique qui permet de dessiner sur un écran en verre à l’aide d’un stylet qu’on déplace grâce à deux gros boutons. Le concept sera vendu à Ohio Arts, un distributeur Américain qui le mettra sur le marché aux USA sous le nom de Etch-a-Sketch dès 1960. Le jouet va vite devenir un favori et se vendre à travers le monde. On estime à plus de 100 millions le nombre d’exemplaires vendus au cours des 50 dernières années.



Lite-Brite
C’est en pleine période de conquêtes spatiales que Hasbro met sur le marché le Lite-Brite en 1967. Un boîtier blanc ressemblant vaguement à un téléviseur avec un écran noir perforé recouvert de papier noir qu’on peut percer avec des chevilles de couleur. Une fois allumée, l’ampoule qui est en son centre est diffusée à travers les chevilles formant ainsi des images de lumière. On peut difficilement réaliser aujourd’hui l’impact d’un tel jouet pour une génération d’enfants qui n’avait encore connu aucuns jouets électroniques.


Bien d’autres jouets ont des histoires fascinantes que vous ne verrez pas dans Toy Story 3. Nous y reviendrons bien un jour ou l’autre. En attendant, vous pouvez toujours aller les voir s’animer sur l’écran dans un cinéma près de chez vous.

mardi 1 juin 2010

La bonne adresse



Quand on se rencontre entre nostalgiques
et/ou amoureux de l'esthétisme du passé...
on peut parler avec joie et complicité même
avec des gens que l'on connaît
que depuis quelques minutes !

C'est ce qui m'arrive de plus en plus souvent...
Cette fois-ci j'y ai gagné "une bonne adresse" !

Lost Vintage achète, mais surtout loue et vend
des articles des annees 50, 60 (et 70).

Ils se déplacent dans tout le Québec
(et peut-être même au-delà...)
pour dénicher ces objets qui dorment
dans des garages, greniers, remises...



Pour les rejoindre il faut aller sur le site,
prendre en note le numéro des articles qui
nous intéressent avant de téléphoner...


ou